Les phares d'Islande en aquarelles.


Mathilde Morant, artiste d’origine bretonne, s'installe en Islande. La nature de ce pays lui permet de réaliser des aquarelles.

En 2018, en regardant une carte de ce pays, elle constate un grand nombre de points le long du littoral. Ce sont des phares.
Le Viti Projet est né, elle décide d’aller à leurs rencontre et de les dessiner. Travail ardu quand on sait que bon nombre d’entre eux sont d’un accès très difficile où peu de gens se rendent.

A ce jour, son travail n’est pas fini, elle en a vu environ 150 et il lui en reste quelques un.
Elle prépare également un livre.

Je présente ici les dessins d’une région, le Vestfirdir. Les autres régions suivront plus tard.


Le Vestfirðir.

Vestfirðir est située au Nord-Ouest du pays. C'est la région des fjords.


Æðeyjarviti.


Langanesviti - Arnarfjörður.


Arnarnesviti.


Fjallaskagaviti.


Hólmavíkurviti.


Malarhornsviti.


Bjargtangaviti.


Hornbjargsviti.


Galtarviti.


Kópanesviti.


Ólafsviti.


Óshólaviti.


Sauðanesviti.


Skorarviti.


Sléttueyrarviti.


Gjogurtaviti.


Svalvogaviti.


Straumnesviti.


Le Suðurland.

Le Suðurland est la région Sud. Région aux plages de sable noir et aux belles cascades.



skaftárósviti.


skarðsfjöruviti


stórhöfðaviti


urðarviti


Hvanneyjarviti






Bakkafjöruviti




L'Austurland.

L'Austurland est la région Est. On y rencontre le glacier Skaftafellsjökull et le fjord Eskifjörður.


Ingólfshöfðaviti.


Hrollaugseyjarviti.


Le Norðurland Eystra.

Norðurland Eystra est la région du Nord-Est.C'est une région qui est tourmentée entre les éléments, le feu et la glace.


Grímseyjarviti.


Remerciements

Je tiens d’abord à féliciter Madame Mathilde Morant pour son travail. Ses aquarelles représentent bien les phares dans leurs environnements. Ce sont parfois des paysages de fin du monde.

Ensuite parce qu’elle est restée fidèle à son projet de peindre les 150 phares islandais. Elle est allée jusqu’au bout de son projet.
Elle n’a pas toujours eu un accès facile. Peu sont accessible par une route carrossable. Elle a parfois dû marcher dans la montagne pendant des heures, circuler au bord de précipices ou bien faire plusieurs tentatives en canoé.
A cela, il faut ajouter que le climat ne l’a pas toujours aidé et souvent fort changeant, vent, pluie, neige et orage.

Pour terminer, je la remercie pour son aide et son partage de photos.

Vous pouvez la retrouver sur sa page Facebook et sur son site.